Grand amoureux de Montréal, Dinu Bumbaru croit aux bienfaits de la promenade pour élever le regard citoyen sur la cité. Promeneur impénitent, il a toujours en poche un carnet noir et un crayon à mine avec lequel il dessine et croque littéralement la ville, à coups d’esquisses. Dans la centaine de carnets qu’il a remplis au fil des années, l’auteur a choisi près de 200 dessins parmi des milliers. Il les accompagne de courts textes ou s’expriment son amour et sa connaissance de Montréal et de ses architectures. Échoppe ou usine, coin de rue ou parc verdoyant, église de quartier ou cathédrale, ruelle verte ou voie ferrée: tout est digne de mention pour Dinu Bumbaru. Un paysage urbain qu’il voit comme une calligraphie vivante de l’aventure humaine.