Mardi. Un cinq et demi, à Montréal. Une femme écrit sur commande, tentant de fixer les secondes, les personnages, les évènements qui semblent lui glisser entre les doigts. Mercredi. Jeudi. À mesure qu’elle écrit, un fil se tisse entre vie intérieure et extérieure, comme une ligne à laquelle s’accrocher. Vendredi. Un compte à rebours poétique qui raconte ce qui se joue, au jour le jour pour l’artiste, avant de prendre le micro. « Amélie Prévost ne s’épargne pas, et on devine une immense tendresse pour l’humain en proie au frémissement de vivre pleinement. C’est une poésie qui embrasse le monde et ses misères, ses échecs, ses cruautés et ses espoirs. » Préface de Jean-Paul Daoust.