« Quand Adèle joue, elle oublie tout », racon­te Nours. Adèle oublie tout parce qu’elle invente les his­toires les plus folles pour ses amis Nours, Ouis­ti­ti, Nanip­ipi et Tifor­tou. Elle met surtout beau­coup de bazar dans sa cham­bre et cela dés­espère un peu ses parents.Ce jour-là, c’est la fête au château. Et il y a tant à faire pour pré­par­er la fête, qu’Adèle oublie qu’on est same­di. Or, chaque same­di, ses par­ents l’em­mè­nent vis­iter un musée. Au grand dés­espoir de ses par­ents, cette vis­ite sera par­ti­c­ulière­ment inspi­rante pour Adèle. Cette his­toire, écrite avec la com­plic­ité de cer­tains jou­ets mag­nifiques du Musée McCord, fait l’éloge de l’imag­i­naire. Un imag­i­naire nour­ri par la per­son­nal­ité des jou­ets, par les livres mais aus­si par les prom­e­nades qu’Adèle fait avec ses parents.