«Tu n’as jamais cultivé ton jardin». C’est avec ces mots que s’ouvre l’adresse d’une fille à sa mère disparue. On pourrait croire à un reproche ; il s’agit plutôt d’une invitation à la conversation dans un jardin littéraire où, malgré la peine et la douleur, les roses, les pivoines et les jacinthes continuent d’éclore.Dans ce récit-hommage, il est question de fleurs, de renaissance, d’appel à des temps meilleurs et du monde qui refleurit.